French Blog
Contrebande au Caire (Richard Thorpe, 1957) 🇫🇷
Que les parieurs flambeurs ne s’y méprennent : Tip on a Dead Jockey ne file aucun tuyau pour gagner aux courses ! Le titre anglais est trompeur et si vous voulez ressentir au cinéma les mêmes décharges d’adrénaline que sur les hippodromes, regardez plutôt The Long Shot (affiche disponible sur le site dans la catégorie « course hippique »).
Le salaire du diable (Jack Arnold, 1957) 🇫🇷
Un an avant La Soif du mal, Orson Welles était déjà hanté par le diable donnant à ce western moderne des caractéristiques de film noir.
Ombres sous la Mer (Jean Negulesco, 1957) 🇫🇷
« J’avais déjà près de neuf ans lorsque je tombai amoureux pour la première fois. Je fus tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui m’empoisonna complètement l’existence et faillit même me coûter la vie » nous confiait Romain Gary dans ses souvenirs d’enfance.
La Vénus des mers chaudes (John Sturges, 1955) 🇫🇷
Ceci n’est pas une publicité pour maillot de bain une pièce, mais bel et bien une affiche du film Underwater ! de John Sturges glorifiant la voluptueuse actrice Jane Russell dans ces plus beaux atours.
Sous la Mer Rouge (Hans Hass, 1951) 🇫🇷
Si Cousteau nous révélait, dans Le Monde du Silence, les beautés secrètes des fonds sous-marins, l’Autrichien Hans Hass avait entreprit, cinq ans plus tôt, d’en saisir aussi les sons, à l’aide d’un hydrophone.
Le Paradis des mauvais garçons (Josef von Sternberg et Nicholas Ray, 1952) 🇫🇷
Bienvenue à Macao, ce fascinant « Monte Carlo de l’Orient », où l’enfer du jeu se mue en paradis pour les mauvais garçons. Escrocs, fugitifs et contrebandiers y tirent le gros lot ou rentrent à sec, au gré des lancers de dés. Il faut se méfier des eaux qui dorment : ce havre « calme et accueillant » où barbotent gentiment des sampans cache aussi un autre visage, « secret et voilé » à l’intérieur des maisons de jeu, nous prévient le générique. Macao, en lettres rouges ombrées de jaune sur l’affiche a revêtu sa tenue de soirée, rivalisant d’éclat et d’élégance avec cette sirène de music-hall surgie de ses eaux troubles.
Visa pour Hong Kong (Lewis Gilbert, 1959) 🇫🇷
On avait vu, dans Le Paradis des mauvais garçons, Robert Mitchum et Jane Russell débarquer à Macao du ferry de Hong Kong. On embarque ici à bord du même bon vieux Fa Tsan à vapeur, promettant moult romances et aventures, pourvu qu’on ait le pied marin.
She Gods of Shark Reef (Roger Corman, 1958) 🇫🇷
« Cet été encore, vous n’irez pas vous baigner ! », nous prévenait Spielberg dans une de ses affiches du film culte Les Dents de la Mer. Pour vous gâcher les vacances, il n’y a pas mieux comme phrase d’accroche…
Tempête sous la Mer (Robert D. Webb, 1953) 🇫🇷
Aujourd’hui, je vais vous parler d’éponges. Non pas celles qui grattent et qui récurent hystériquement les recoins douteux de vos sanitaires mais de ces inoffensives espèces animales qui tapissent douillettement le fond des océans. Elles n’en finissent pas moins, malheureusement, échouées sur le rebord d’un banal lavabo, réduites à leur triste sort utilitaire…
Cherchez l’affiche ! La Strada, Elle et Lui, L’Etrange Créature du Lac Noir, 20 000 Lieues sous les Mers, Vacances Romaines, dans le film Luca 🇫🇷
Si le vingt-quatrième long métrage Pixar, Luca, n’a pas encore sa place dans notre site dédié au cinéma vintage, ses aficionados pourront s’amuser à débusquer leurs affiches préférées, camouflées dans son décor. J’en ai trouvé cinq, qui dit mieux ?
Le Monde du Silence (Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle, 1956) 🇫🇷
Qui n’a jamais rêvé d’évoluer librement, affranchi des lois de la pesanteur, au milieu de créatures silencieuses, aussi fascinantes qu’inquiétantes?
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