French Blog
Ombres sous la Mer (Jean Negulesco, 1957) 🇫🇷
« J’avais déjà près de neuf ans lorsque je tombai amoureux pour la première fois. Je fus tout entier aspiré par une passion violente, totale, qui m’empoisonna complètement l’existence et faillit même me coûter la vie » nous confiait Romain Gary dans ses souvenirs d’enfance.
Easy Come, Easy Go (John Rich, 1967) 🇫🇷
Elvis n’est pas mort ! Immortalisé en 3 dimensions sur cette affiche (sous la triple casquette d’officier de la marine américaine, chanteur et aventurier-plongeur), je l’ai croisé plus d’une fois au détour de virées nocturnes dans les bars hongkongais de Lan Kwai Fong.
La Vénus des mers chaudes (John Sturges, 1955) 🇫🇷
Ceci n’est pas une publicité pour maillot de bain une pièce, mais bel et bien une affiche du film Underwater ! de John Sturges glorifiant la voluptueuse actrice Jane Russell dans ces plus beaux atours.
Sous la Mer Rouge (Hans Hass, 1951) 🇫🇷
Si Cousteau nous révélait, dans Le Monde du Silence, les beautés secrètes des fonds sous-marins, l’Autrichien Hans Hass avait entreprit, cinq ans plus tôt, d’en saisir aussi les sons, à l’aide d’un hydrophone.
Le Monde Sans Soleil (Jacques-Yves Cousteau, 1964) 🇫🇷
Huit ans après la sortie de son film Le Monde du Silence, le Commandant Cousteau réalise ce deuxième documentaire inédit, digne d’un roman de Jules Verne.
Cette aventure humaine relate en effet l’exploit d’une équipe « d’océanautes » envoyés vivre, un mois durant, dans un village sous-marin. C’est l’expérience scientifique dénommée « Précontinent II ».
She Gods of Shark Reef (Roger Corman, 1958) 🇫🇷
« Cet été encore, vous n’irez pas vous baigner ! », nous prévenait Spielberg dans une de ses affiches du film culte Les Dents de la Mer. Pour vous gâcher les vacances, il n’y a pas mieux comme phrase d’accroche…
Tempête sous la Mer (Robert D. Webb, 1953) 🇫🇷
Aujourd’hui, je vais vous parler d’éponges. Non pas celles qui grattent et qui récurent hystériquement les recoins douteux de vos sanitaires mais de ces inoffensives espèces animales qui tapissent douillettement le fond des océans. Elles n’en finissent pas moins, malheureusement, échouées sur le rebord d’un banal lavabo, réduites à leur triste sort utilitaire…
Le Monde du Silence (Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle, 1956) 🇫🇷
Qui n’a jamais rêvé d’évoluer librement, affranchi des lois de la pesanteur, au milieu de créatures silencieuses, aussi fascinantes qu’inquiétantes?
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